La Bible que nous considérons comme le Livre des livres dans le monde, a été l'objet de notre étude. Malgré tous les défauts de la traduction, la Bible, qui est écrite en hébreu, en araméen et en grec a été traduite en d'autres langues dès les temps obscurs jusqu'à nos jours. C'est Saint Jérôme qui au 4e siècle, avec sa traduction de la Bible en Latin, la Vulgate, qui a popularisé la traduction mot à mot de la Bible. La Bible restait alors pendant des siècles le Livre des moines et des ecclésiastes qui la lisaient et l'expliquaient aux fidèles. Mais avec la Réforme et la traduction de la Bible en allemand en 1534 par Martin Luther qui préconisait la traduction libre de la Bible afin que l'homme de la rue puisse la lire et la comprendre car, selon lui, le Koinê grec du Nouveau Testament était la langue courante de ces temps-là. C'est cette idée de Luther qui est modernisée et popularisée par Nida (1964, 2004) dans son principe de l'équivalence dynamique qui domine dans la traduction biblique du 20e et du 21 e siècle.