L'auteur traverse l'Afrique, promenant sa plume le long des rues, rendant compte sans complaisance du mal qui tenaille jeunes et vieux. Il plaint la terre chérie de ses pères. Sa peur est telle, qu'il s'interroge sur l'avenir du continent africain, où la mort et la souffrance ont acquis tous les droits ces dernières années. L'heure qui passe, est une bien sombre heure, pourtant l'auteur, conscient que les beaux jours seront à jamais un souvenir, veut espérer l'avènement d'un monde meilleur. Il rêve, il s'accroche au rêve; que faire de plus lorsque la nuit jette son voile? Il rêve, il est comme tout le monde!