Le niveau d'application des recommandations est faible, mais en progression par rapport aux travaux antérieurs. Pour permettre un dépistage plus efficace de la mort subite d'origine cardiaque du jeune sportif, les médecins doivent être mieux formés et les sportifs plus sensibilisés. Compte tenu de la faible incidence de la MSC, d'autres études prospectives à grande échelle pour établir des preuves solides de l'efficacité du dépistage sont nécessaires. Elles permettraient sans doute une meilleure acceptabilité du dépistage par les médecins... et les sportifs.