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Les céphalées post-ponction dure-mérienne(CPPD) constituent un réel problème. L'incidence varie de 1 à 4%. L'objectif était de mettre en évidence par la méta-analyse les meilleures stratégies combinant à la fois le diamètre de l'aiguille, le type et l'orientation du biseau. Les aiguilles 27G bout non coupant sont moins génératrices de CPPD avec le RR de 0.44 (IC 95%: O.28-068). Nos résultats sont légèrement majorés par rapport aux résultats de Flaatten qui a trouvé un RR de 0.38(IC 95%: 0.19-0.75. Cette différence s'explique par la taille plus grande de notre échantillon basé sur des études…mehr

Produktbeschreibung
Les céphalées post-ponction dure-mérienne(CPPD) constituent un réel problème. L'incidence varie de 1 à 4%. L'objectif était de mettre en évidence par la méta-analyse les meilleures stratégies combinant à la fois le diamètre de l'aiguille, le type et l'orientation du biseau. Les aiguilles 27G bout non coupant sont moins génératrices de CPPD avec le RR de 0.44 (IC 95%: O.28-068). Nos résultats sont légèrement majorés par rapport aux résultats de Flaatten qui a trouvé un RR de 0.38(IC 95%: 0.19-0.75. Cette différence s'explique par la taille plus grande de notre échantillon basé sur des études avec des résultats variés. Les aiguilles à bout coupant de diamètre fin montrent une diminution d'incidence de CPPD même avec une légère variation de diamètre. L'incidence reste supérieure à 2% même pour l'aiguille Atraucan qui affiche une supériorité par rapport à l'aiguille Quincke. L'orientation du biseau parallèle aux fibres contribue à la diminution de CPPD. Les hommes ont deux fois moins de risque de faire les CPPD. Chez les femmes certains facteurs hormonaux pourraient expliquer cette tendance. Le coût et le risque d'échec doivent être pris en compte dans le choix des aiguilles.
Autorenporträt
Jean Bosco Kayinamura a fait ses études d'Anesthésie-Réanimation en France et en Belgique. Ce projet sur la Prévention des Céphalées Post-Ponction Dure-mérienne lui tenait à c¿ur en apportant sa contribution et promouvoir les méthodes qui ont prouvé l'efficacité. Maintenant il travaille au CHU de Nancy dans le département d'Anesthésie-Réanimation.