Questions contemporaines dans le système kenyan du droit de la famille - Wanyanga, Elizabeth
26,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
13 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Cet ouvrage, qui porte sur le droit de la famille kenyan, est divisé en deux parties. La première partie traite des caractéristiques uniques de la maternité de substitution en tant que forme facultative de traitement de la fertilité et du droit à la certitude de la filiation, puisque cette filiation implique plus d'un ensemble de parents. Cette partie aborde les défis auxquels sont confrontés les couples kenyans qui cherchent à recourir à la maternité de substitution comme traitement de la fertilité, ainsi que les mesures prises par le Kenya pour réglementer la maternité de substitution en…mehr

Andere Kunden interessierten sich auch für
Produktbeschreibung
Cet ouvrage, qui porte sur le droit de la famille kenyan, est divisé en deux parties. La première partie traite des caractéristiques uniques de la maternité de substitution en tant que forme facultative de traitement de la fertilité et du droit à la certitude de la filiation, puisque cette filiation implique plus d'un ensemble de parents. Cette partie aborde les défis auxquels sont confrontés les couples kenyans qui cherchent à recourir à la maternité de substitution comme traitement de la fertilité, ainsi que les mesures prises par le Kenya pour réglementer la maternité de substitution en tant que forme émergente de traitement facultatif de la fertilité. La deuxième partie de ce livre aborde le concept de divorce dans la jurisprudence kényane, les défis et les obstacles rencontrés par les couples qui cherchent à divorcer au Kenya en vertu de la loi sur le mariage de 2014, une loi complète qui consolide le mariage religieux,civil,coutumier et le divorce.
Autorenporträt
Elizabeth Wanyanga est titulaire d'un diplôme LLM de l'université du Botswana et d'un diplôme LLB (Hons) de l'université Moi, au Kenya. Elle est actuellement chargée de cours à la faculté de droit de l'université Moi, au Kenya, où elle était auparavant assistante principale du greffier général au sein du bureau juridique de l'État kenyan.