38,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
19 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Les radicaux libres, ou espèces réactives de l'oxygène (EROs) sont produits par le métabolisme de l'oxygène pendant la respiration cellulaire. Ces produits très réactifs sont bien connus pour leur toxicité cellulaire mais peu d'études ont analysé leur rôle lorsque leur production est maîtrisée. Grâce à notre modèle de contrôle central de l'osmorégulation, nous avons observé la production des EROs dans les neurones hypothalamiques lors d'une stimulation osmotique ainsi que l'augmentation de l'activité de certaines enzymes anti-oxydantes (superoxyde dismutase et catalase). L'administration…mehr

Produktbeschreibung
Les radicaux libres, ou espèces réactives de l'oxygène (EROs) sont produits par le métabolisme de l'oxygène pendant la respiration cellulaire. Ces produits très réactifs sont bien connus pour leur toxicité cellulaire mais peu d'études ont analysé leur rôle lorsque leur production est maîtrisée. Grâce à notre modèle de contrôle central de l'osmorégulation, nous avons observé la production des EROs dans les neurones hypothalamiques lors d'une stimulation osmotique ainsi que l'augmentation de l'activité de certaines enzymes anti-oxydantes (superoxyde dismutase et catalase). L'administration d'acide alpha-lipoïque, un anti-oxydant qui bloque la production des EROs, empêche l'augmentation de synthèse et de libération de la vasopressine, hormone antidiurétique impliquée dans la rétention hydrique au niveau du rein. Ses travaux ont permis de faire émerger un rôle nouveau des EROs en tant que médiateurs physiologiques de certaines voies de contrôle de l'homéostasie. De plus, ils fournissent des données quant aux effets d'un traitement anti-oxydant par voie systémique utilisé en thérapie, qui risquent d'aggraver l'équilibre électrolytique chez les patients âgés.
Autorenporträt
Né le 19 août 1978 à Montréal, Ronald St-Louis est titulaire d'un Diplôme de Doctorat en Neurosciences de l'Université Pierre et Marie Curie, Paris VI. Ses travaux ont notamment suscité l'intérêt de la société américaine d'endocrinologie, The Endocrine Society, qui lui a consacré une colonne dans sa revue mensuelle, Endocrine News.