Réduction de l'effet de martèlement entre les bâtiments adjacents - Kahlouche, Farah
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Les bâtiments adjacents sont soumis au risque de martèlement durant les séismes, lorsque la distance de séparation est insuffisante. Le phénomène de martèlement a été observé au cours des séismes forts passés, et il a été identifié comme l'une des principales causes des dégâts structuraux des bâtiments. De nombreuses études ont été menées sur le calcul des joints sismiques entre les bâtiments adjacents pour éviter le martèlement. Bien que certains codes modernes aient inclus l'exigence du joint sismique des structures adjacentes, certains d'entre eux n'ont pas réussi à fournir la largeur…mehr

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Produktbeschreibung
Les bâtiments adjacents sont soumis au risque de martèlement durant les séismes, lorsque la distance de séparation est insuffisante. Le phénomène de martèlement a été observé au cours des séismes forts passés, et il a été identifié comme l'une des principales causes des dégâts structuraux des bâtiments. De nombreuses études ont été menées sur le calcul des joints sismiques entre les bâtiments adjacents pour éviter le martèlement. Bien que certains codes modernes aient inclus l'exigence du joint sismique des structures adjacentes, certains d'entre eux n'ont pas réussi à fournir la largeur minimale appropriée du joint. Dans cette étude, les méthodes de calcul de la largeur du joint sismique selon les provisions des codes des différents pays ainsi que les Règles Parasismiques Algériennes "RPA99 v2003" ont été revues. Ce livre présente un cas d'étude de trois bâtiments adjacents séparés par des joints sismiques qui ne respectent pas le code parasismique Algérien RPA99 v2003. Sur ce modèle, trois solutions différentes ont été testées et évaluées afin de réduire le martèlement sismique.
Autorenporträt
Farah Kahlouche est née le 16 Septembre 1987 à Khemis Miliana (Algérie), ingénieur d'état en travaux publics en 2009 de l'Ecole Nationale Supérieure de Travaux Publics (Kouba, Alger), magister en génie civil (option structure) en 2013 de l'Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene et enfin doctorante à ce jour.