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Les Saoudiens et les Américains sont confrontés à des difficultés lorsqu'ils cherchent à faire exécuter des jugements dans les tribunaux de l'autre pays en raison de l'absence de conventions internationales sur la reconnaissance et l'exécution des jugements en argent rendus à l'étranger. L'absence de telles conventions a un impact sur les intérêts de la partie lésée pour les hommes d'affaires et les particuliers des deux pays, et aucune recherche n'a été trouvée qui traite d'un accord entre les deux pays sur les jugements étrangers. Par conséquent, cette thèse se concentre sur les défis…mehr

Produktbeschreibung
Les Saoudiens et les Américains sont confrontés à des difficultés lorsqu'ils cherchent à faire exécuter des jugements dans les tribunaux de l'autre pays en raison de l'absence de conventions internationales sur la reconnaissance et l'exécution des jugements en argent rendus à l'étranger. L'absence de telles conventions a un impact sur les intérêts de la partie lésée pour les hommes d'affaires et les particuliers des deux pays, et aucune recherche n'a été trouvée qui traite d'un accord entre les deux pays sur les jugements étrangers. Par conséquent, cette thèse se concentre sur les défis auxquels les parties sont confrontées lorsqu'elles souhaitent faire exécuter un jugement en Arabie saoudite ou aux États-Unis. En outre, cette étude examine la possibilité de parvenir à un accord bilatéral entre l'Arabie saoudite et les États-Unis sur l'exécution des jugements étrangers. Il est important de combler les lacunes dans ce domaine, car l'absence d'accord entre l'Arabie saoudite et les États-Unis peut créer des obstacles à la résolution du problème. Cette étude sensibilisera donc les législateurs des deux pays à ces obstacles, dans l'espoir que les décideurs politiques prendront en compte le contenu de cette thèse lorsqu'ils arriveront au stade de la négociation.
Autorenporträt
Ibrahim Aloraini est chercheur en droit international. Il est titulaire d'une licence en droit islamique. En 2013, il a obtenu son premier master en politique juridique, avec une spécialisation en droit, ainsi qu'un autre master en droit (LLM) en 2018 à la Maurer School of Law de l'Université de l'Indiana. Il est également titulaire d'un S.J.D. de la même école.