46,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

Ces dernières décennies, la déforestation et les changements climatiques ont largement contribué à l'augmentation des catastrophes naturelles comme les glissements de terrain. De la nécessité de sécuriser les pentes instables par des alternatives écologiques et moins coûteuses que les solutions de génie civil, a émergé la question de l'impact des structures forestières sur la stabilité des versants. Les moyens actuels d'expérimentation à l'échelle des peuplements restant limités, la modélisation et l'analyse numérique ont permis d'aborder cette question. Dans une première phase, le modèle a…mehr

Produktbeschreibung
Ces dernières décennies, la déforestation et les changements climatiques ont largement contribué à l'augmentation des catastrophes naturelles comme les glissements de terrain. De la nécessité de sécuriser les pentes instables par des alternatives écologiques et moins coûteuses que les solutions de génie civil, a émergé la question de l'impact des structures forestières sur la stabilité des versants. Les moyens actuels d'expérimentation à l'échelle des peuplements restant limités, la modélisation et l'analyse numérique ont permis d'aborder cette question. Dans une première phase, le modèle a été développé sur la base des concepts du renforcement racinaire pour représenter la morphologie racinaire et procéder à la répartition spatiale des arbres en fonction des motifs de plantation. Ensuite, le modèle a été utilisé pour simuler et analyser un éventail de versants boisés virtuels et réels. Cette analyse a permis d'identifier le motif de plantation et les morphologies les plus pertinents pour la stabilité d'un versant. Elle a permis d'apporter des éléments nouveaux de compréhension de la fonction stabilisatrice des peuplements forestiers.
Autorenporträt
Né le 21 juin 1978, l¿auteur a obtenu un diplôme d¿ingénieur civil en 2002. En 2008, il prépara un doctorat en Sciences de l¿ingénieur (Ecoingénierie) en France. Il a travaillé comme chercheur à Montpellier de 2008 à 2010. Depuis juillet 2010, il est chercheur postdoctoral à l¿Institut National de la Recherche Scientifique du Canada.