Un vieil adage nous renseigne qu'un premier pas est toujours le plus difficile à franchir. En effet, c'est depuis cinq ans que nous ressentons et exprimons la nécessité et l'urgence de voir notre université se doter d'un organe de publication scientifique. Nous hésitons suite aux angoisses existentielles qui nous ont caractérisés depuis plus de deux ans et, tout récemment par la psychose due à l'insécurité provoquée par le phénomène Kamuina Nsapu occasionnant ainsi la problématique procédurale, la quête de financement et le mode de gestion à mettre en place. Actuellement et fort de la détermination qui habite les corps scientifique et académique de notre alma mater, le rêve devient une réalité et formulons le voeu que l'avenir sera moins hypothètique.