Le Liban est un pays singulier : le français y est présent sous différentes modalités et dans divers contextes : éducatifs, culturels, sociaux etc. Pourtant, l'enseignement/apprentissage du français n'est pas une tâche assez aisée : difficultés et obstacles entravent la maitrise de la langue française dans ce pays francophone par excellence. Le conte serait-il un genre " sauveur " par sa dimension originairement didactique ? L'approche actionnelle serait-elle adéquate au contexte libanais et mieux adaptée que l'approche communicative ? Comment pourrait-elle résoudre certaines difficultés d'apprentissage relatives au caractère expérimental des Disciplines Non Linguistiques DNL ? Ces questions et d'autres seront abordées dans les articles présents.