Après la naissance du Pakistan, le féodalisme et le système sardari ont été dominés au Pakistan. Zulfiqar Ali Bhutto a introduit des réformes agraires qui ont respecté la promesse d'un accord raisonnable pour les travailleurs de la terre et les ouvriers des usines. Les réformes agraires de Bhutto ont façonné une tyrannie féodale latente pour la contestation, mais le pouvoir des seigneurs de la terre n'a pas été brisé. Par le biais de la loi sur la réglementation des réformes foncières, Bhutto a redistribué la terre, l'a prise à ses propriétaires et l'a donnée à d'autres, sous diverses conditions. La valeur des réformes foncières est qu'en les mettant en place, Bhutto a réussi, dans certains domaines, à abolir l'influence des propriétaires. Ainsi, les réformes foncières de Bhutto ont profité aux petits agriculteurs, aux cultivateurs et aux locataires. Bhutto a également pris la décision de nationaliser trente-deux industries, banques, compagnies d'assurance-vie et le secteur de l'éducation. L'importance de cette étude est de souligner si Bhutto a réussi ou non à réduire la richesse des mains des industriels. L'objectif de cette étude est de découvrir les principaux obstacles rencontrés par le gouvernement dans la mise en oeuvre effective des réformes agraires et de la nationalisation.