Les fibres alimentaires sont le facteur le plus important qui module la biologie humaine et la spéciation. Une faible consommation de fibres alimentaires associée à un régime riche en protéines et en graisses entraîne une augmentation de la croissance endosymbiotique et colique des archées et une néanderthalisation de l'espèce. Cela conduit à l'induction du phénotype de Warburg et à une incidence accrue du syndrome métabolique x, de la neurodégénérescence, des maladies auto-immunes, du cancer, de la schizophrénie et de l'autisme. Une population ayant un régime alimentaire pauvre en fibres et riche en protéines et en graisses voit sa digestion se faire dans l'intestin grêle. La population ayant une alimentation prédominante pauvre en fibres et une digestion dans l'intestin grêle a une prédilection accrue pour les maladies de civilisation. Une consommation élevée de fibres alimentaires entraîne une digestion prédominante dans le gros intestin par la microflore colique et inhibe la croissance endosymbiotique et colique des archées, ce qui entraîne une homo sapienisation de l'espèce. Cela conduit à une diminution de la croissance des archées et de l'incidence des maladies de civilisation. Ce régime peut être décrit comme le régime cétogène de l'Inde péninsulaire, à base de légumineuses et de noix de coco.
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