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L'écrivain rappelle à l'humanité que les besoins primaires de l'humain doivent demeurer la priorité planétaire. Et pendant qu'il s'insurge contre les discours flatteurs des écrivains et des artistes qui louent les dirigeants ennemis de la démocratie et spoliateurs des concitoyens, il s'adresse aux pays occidentaux dont il s'étonne qu'ils ne comprennent pas que le remède des maux tels que l'émigration clandestine et même le terrorisme, c'est la justice dans les termes des échanges, le respect de l'autre dans son expression multidimensionnelle, et la meilleure répartition des biens de la terre…mehr

Produktbeschreibung
L'écrivain rappelle à l'humanité que les besoins primaires de l'humain doivent demeurer la priorité planétaire. Et pendant qu'il s'insurge contre les discours flatteurs des écrivains et des artistes qui louent les dirigeants ennemis de la démocratie et spoliateurs des concitoyens, il s'adresse aux pays occidentaux dont il s'étonne qu'ils ne comprennent pas que le remède des maux tels que l'émigration clandestine et même le terrorisme, c'est la justice dans les termes des échanges, le respect de l'autre dans son expression multidimensionnelle, et la meilleure répartition des biens de la terre entre les terriens. Pour lui, l'ex-négrier, l'ex-colonisateur doit se réconcilier avec l'Afrique. Et les Africains, eux, ne doivent pas oublier que leur combat pour la vraie indépendance passe avant la lutte pour l'alternance politique.
Autorenporträt
Dans Rhapsodies pour remonter les cataractes, l'auteur de La Chose qui mangeait les sorciers met en garde l'Africain qu'il appelle au combat et dont il attire l'attention sur les conséquences de son égotisme, de sa mauvaise gouvernance, de son atavique cécité et de son manque de réaction : ses vers sont / Bric-à-brac / De mots-tracts / Ils sont chant / De la pie Qui trahit / La cachette / Les micmacs / Du serpent / Aux aguets. Il présente à la CRTV radio, The Reader, une émission bilingue de critique littéraire et de promotion culturelle. Emmanuel Mayo a été honoré (1989) par la revue culturelle Matatu, en RFA, avec son poème Vibre, Wete-Oro, (traduit de l'allemand Vibriere) désigné meilleure oeuvre de langue française. Il écrit des poèmes, des nouvelles et des romans. Il a publié en décembre 2017, La chose qui mangeait les sorciers, un roman dans le genre fantastique chez Le livre actualité à Nantes.