La guerre, la rébellion, le viol, le massacre, le pillage, l'esclavage moderne, la tuerie, le génocide à la complicité, voilà le rythme de la chanson à l'Est de la république démocratique du CONGO. La fuite pour de raison de la préservation de la misérable courte et éphémère petite vie précieuse valant de l'or, de la brousse à la savane, de la savane à la brousse, de la brousse à la colonne, de la colonne à la montagne, de la montagne à la brousse, de la brousse au lac et rivière, à la rivière et aux endroits arides où la rosée de la faune servis de fontaine. Passant des jours sans boire ni manger, les laits maternels des mères allaitant presque réduites au sec. Paradoxe congolais, terre riche croupissant dans la misère.Par des faits quasi réels rapporter par Salima (personnage principal).