Ces vers sont les larmes du réchauffement climatique, de l'oisiveté des élèves d'aujourd'hui, la dépigmentation en flamme inarrêtable. Ces églogues sonnent comme une mise en garde de ses maux par un souhait de purgation. En un mot, ce sont les maux terrestres qui y sont miroités d'autant plus que la poésie est l'expression de la douleur.