Il vise à fournir une image globale de la sculpture et de l'art dans la région du Pendjab, principalement au cours des IIe et Ve siècles après J.-C., bien que des oeuvres ultérieures pertinentes jusqu'au XVIIe siècle soient également étudiées. Les trois religions de l'époque, l'hindouisme, le bouddhisme et le jaïnisme, visualisaient l'art à partir d'une plate-forme commune. Toutes les sculptures étudiées étaient certainement utilisées pour le culte ou la célébration rituelle. Forme typique de figure féminine, le Salabhañjika se retrouve dans presque toutes les écoles d'art connues du Pendjab de cette époque. Cette figure est représentée avec de nombreuses variations et styles, généralement sous la forme d'une vignette d'arbre. L'arbre n'occupe pas seulement une place importante dans la nature, mais a également fait partie du culte des arbres et de la vénération des arbres. Il a été vénéré comme symbole sous la forme d'un phallus, souvent comme un arbre du monde ou comme l'arbre qui réalise les souhaits, le Kalpa Vriksha. L'ensemble de l'oeuvre révélée au Pendjab, est du libéralisme. La liberté d'expression a été la raison pour laquelle les artistes ont excellé dans leur travail. Sanghol était en effet le Ucha- pind - le haut monticule non seulement par ce qu'il avait sous le sol qui restait à découvert, mais aussi par ce qu'il soutenait !
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