Serviam - Arcand, Adrien
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Intellectuel de grande envergure, le journaliste et homme politique canadien Adrien Arcand (1899-1967), alors qu'il fut l'une des figures majeures de l'Internationale fasciste, est aujourd'hui étonnamment méconnu en France. Fondateur en 1934 du Parti national social chrétien puis chef, à partir de 1938, du Parti de l'unité nationale du Canada, ce fervent catholique fut le pourfendeur infatigable du libéralisme philosophique et de ses fruits empoisonnés que sont les matérialismes capitaliste et marxiste. Il n'eut également de cesse de dénoncer l'influence subversive de la franc-maçonnerie et de…mehr

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Produktbeschreibung
Intellectuel de grande envergure, le journaliste et homme politique canadien Adrien Arcand (1899-1967), alors qu'il fut l'une des figures majeures de l'Internationale fasciste, est aujourd'hui étonnamment méconnu en France. Fondateur en 1934 du Parti national social chrétien puis chef, à partir de 1938, du Parti de l'unité nationale du Canada, ce fervent catholique fut le pourfendeur infatigable du libéralisme philosophique et de ses fruits empoisonnés que sont les matérialismes capitaliste et marxiste. Il n'eut également de cesse de dénoncer l'influence subversive de la franc-maçonnerie et de combattre le projet juif de destruction de la civilisation occidentale et de domination du monde. Nous espérons que la présente anthologie, élaborée par Paul Beaumont à l'occasion du cinquantième anniversaire du décès d'Adrien Arcand, préfacée par M. l'abbé Olivier Rioult et complétée par un essai de Joseph Mérel et une biographie établie par Rémi Tremblay, contribuera à faire découvrir aux nationalistes français la pensée de cet « apôtre courageux qui a tout sacrifié pour combattre au service de l'Église et pour établir le règne du Christ » (chanoine G. Panneton).
Autorenporträt
Adrien Arcand (1899-1967) est un journaliste et homme politique canadien. Éditeur de plusieurs journaux, il fonde en 1934 le Parti national social chrétien (PNSC), un parti au programme tout autant anticapitaliste qu'anticommuniste. Il prend en 1938 la tête du Parti de l'unité nationale du Canada (PUNC) né de la fusion du PNSC avec d'autres mouvements d'inspiration fasciste. Le PUNC est déclaré illégal dès le début de la Deuxième Guerre mondiale, ce qui mène à l'internement de son chef de 1940 à 1945. Après sa libération, Adrien Arcand reprend et continue jusqu'à sa mort le combat pour la défense de la civilisation occidentale et chrétienne.