Bien que le développement reste une notion gluante, il pourrait être la résultante logiques d'une co-construction. Celle-ci elle-même est issue d'un management de liberté et de dignité humaine. La démocratisation semble en être le gage. Le Cameroun ayant souscrit à la démocratisation, puis à la décentralisation, les expérimentations sont alors dans le feu des vestiges vivantes des idéologies dominantes que sont l'Islam au prisme du "lamidalisme" et le capitalism occidental porté par les colons d'hier plus confortablement assis. Comment libérer les sociétés sahéliennes du Nord-Cameroun des mains de leurs Bourreaux en vue de leur développement?