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La répartition des sols lunnyu dans le bassin du lac Victiria en Ouganda est caractérisée au niveau des champs et des paysages. Toutes les propriétés des sols, à l'exception du limon, ont montré une dépendance spatiale aux deux profondeurs à l'échelle de l'étude. Le phosphore, le Ca, le Na et le sable ont montré des portées plus courtes, entre 42 et 58 mètres, tous dans la couche supérieure du sol, mais les autres propriétés de la couche supérieure et du sous-sol ont des portées plus importantes, de 149 mètres. Les plaques de Lunnyu sur le lixisol chromique et les gleysols mollicques avaient…mehr

Produktbeschreibung
La répartition des sols lunnyu dans le bassin du lac Victiria en Ouganda est caractérisée au niveau des champs et des paysages. Toutes les propriétés des sols, à l'exception du limon, ont montré une dépendance spatiale aux deux profondeurs à l'échelle de l'étude. Le phosphore, le Ca, le Na et le sable ont montré des portées plus courtes, entre 42 et 58 mètres, tous dans la couche supérieure du sol, mais les autres propriétés de la couche supérieure et du sous-sol ont des portées plus importantes, de 149 mètres. Les plaques de Lunnyu sur le lixisol chromique et les gleysols mollicques avaient un pH, un P, un sable, une argile et un limon plus élevés que ceux des ferralsols plinthiques et du lixisol pétriférique. Aucune des propriétés du sol n'a été influencée par la position du paysage. Le pH, le Ca, le Mg et le K du sol étaient plus élevés dans la couche arable que dans le sous-sol. Ni la position de la pente ni le type de lunnyu n'ont montré de différences cohérentes dans toutes les propriétés du sol. Le lunnyu ne peut pas être expliqué par ces deux facteurs. Afin de résoudre le problème du lunnyu, il convient de chercher à identifier objectivement les parcelles de lunnyu, puis de surveiller attentivement les performances des cultures dans le cadre de différentes interventions de gestion de la fertilité des sols.
Autorenporträt
Bernard Fungo is een Oegandees met een BSc. (Bosbouw, MAK), MSc. (Bodem- en Waterbouw, UF) en MSc. (Bosbouw, MAK). Hij werkte twee jaar voor FARA (2009-2010) voordat hij in 2011 bij NARO in dienst trad. Zijn doctoraatswerk bij ICRAF richt zich op het gebruik van "Biochar" als een bodemwijziging om koolstof te sekwestreren, de bodemvruchtbaarheid te verbeteren en de uitstoot van broeikasgassen te verminderen.