Survivre dans une société où le désespoir bouillonne sur les toits de tout-monde, les uns s'étouffent sous les sables et d'autres en font d'or, la vie s'apparente vite à un mystère sans nom. C'est ainsi qu'au fond des nuits sans nom, dans ces fleuves natales misérables, nos silences funèbres ruissellent et se retentissent paralysés. On se demande si les ombres humaines sont la taille de leur méchanceté, car, tout semble obscur au coucher du crépuscule. Sous le feu des maux, le monde et ses habitants vivent dans l'abime de l'enfer où la direction à prendre préoccupe peu les décideurs. L'ordre laisse place à l'anarchie, dont tout est permis comme l'avait décrété Nietzsche. Le désarroi se trouve au coeur du livre sous les fleuves natales, du premier au dernier poème git la vie d'enfer sous différente forme. Le seul cri reste, le retour à l'ordre.