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Ce travail est une tentative de voir les relations sport-politique dans une perspective sociologique. L'implication active des élites dirigeantes dans le processus d'organisation des grands événements sportifs ou l'utilisation du sport comme une opportunité d'agir dans le domaine des relations internationales, tout cela indique que le sport et la politique sont liés. Ces deux institutions s'influencent mutuellement et l'influence du sport, notamment sous sa forme moderne de méga-événements, sur la politique semble être un phénomène intéressant. Pour savoir dans quelle mesure le sport peut…mehr

Produktbeschreibung
Ce travail est une tentative de voir les relations sport-politique dans une perspective sociologique. L'implication active des élites dirigeantes dans le processus d'organisation des grands événements sportifs ou l'utilisation du sport comme une opportunité d'agir dans le domaine des relations internationales, tout cela indique que le sport et la politique sont liés. Ces deux institutions s'influencent mutuellement et l'influence du sport, notamment sous sa forme moderne de méga-événements, sur la politique semble être un phénomène intéressant. Pour savoir dans quelle mesure le sport peut influencer la politique et vice-versa, trois situations concernant les boycotts olympiques ont été examinées à travers une approche, basée sur la méthode des différences de J.S. Mill. L'analyse comparative des boycotts olympiques (Moscou 1980, Los Angeles 1984) et des boycotts évités (Beijing 2008) visait à comprendre la dynamique qui a eu lieu dans les relations sport-pouvoir à différents niveaux. Le travail devrait être intéressant pour ceux qui s'intéressent à une conjoncture sport-politique et à ses explications théoriques.