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Dans toutes les communautés rurales du monde, il existe des croyances, des dictons et des pratiques qui permettent aux gens d'organiser et de contrôler leur vie. Ces croyances, dictons et pratiques sont communément appelés folklore. Le folklore est surtout présent chez les analphabètes dont le niveau d'éducation et les moyens financiers sont au plus bas. Le peuple Igbo du sud-est du Nigeria ne fait pas exception à la règle. Ce peuple croit tellement en de nombreuses choses que le chercheur s'est forcé à limiter ses collections à environ 1 500 entrées. Ces croyances en de nombreuses choses les…mehr

Produktbeschreibung
Dans toutes les communautés rurales du monde, il existe des croyances, des dictons et des pratiques qui permettent aux gens d'organiser et de contrôler leur vie. Ces croyances, dictons et pratiques sont communément appelés folklore. Le folklore est surtout présent chez les analphabètes dont le niveau d'éducation et les moyens financiers sont au plus bas. Le peuple Igbo du sud-est du Nigeria ne fait pas exception à la règle. Ce peuple croit tellement en de nombreuses choses que le chercheur s'est forcé à limiter ses collections à environ 1 500 entrées. Ces croyances en de nombreuses choses les poussent à donner des interprétations à presque tout ce qu'ils ne comprennent pas facilement. Avec ces croyances, ils s'organisent de telle sorte que certains maux sociaux sont réduits au minimum. Mais alors, ces superstitions contiennent tout ce qui a jamais été pensé et connu parmi les gens. On peut y trouver des pensées scientifiques que les modernes peuvent étudier et ainsi élargir les découvertes humaines. Compte tenu de l'utilité du folklore, le présent chercheur a dû interviewer de nombreuses personnes et étudier beaucoup de livres afin d'aboutir à ce travail.
Autorenporträt
Aloy Nnamdi Obika, PhD é docente no Departamento de Inglês, Universidade de Madonna, Nigéria, campus de Okija, estado de Anambra. Obteve a sua licenciatura (Hons) em inglês na Universidade da Nigéria, Nsukka (UNN). Obteve o seu mestrado (MA) pela Universidade Nnamdi Azikiwe, Awka. Para o seu doutoramento, teve de regressar à UNN.