La stéganographie est l'art de la communication secrète. Depuis l'avènement de la stéganographie moderne, dans les années 2000, de nombreuses approches basées sur les codes correcteurs d'erreurs ont été proposées pour réduire le nombre de modifications du support de couverture tout en insérant le maximum de bits. Les travaux de Jessica Fridrich ont montré que les codes à matrices creuses approchent le mieux la limite théorique d'efficacité d'insertion. Dans ce travail, nous proposons d'une part, une nouvelle approche avec l'utilisation des codes correcteurs LDPC. La performance de cette approche sera mise en évidence dans ce manuscrit. En tenant compte de la notion de carte de détectabilité décrite par le schéma HUGO, nous avons proposé une méthode de dissémination et d'extraction adaptative.D'autre part, outre l'implémentation du schéma basé sur les codes de Reed Solomon qui s'inspire des travaux de Fontaine et Galand, nous avons étudié la construction de codes LDPC quasi cycliques basés sur un protographe.