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À la fin des années 1990, le poisson et les produits de la pêche étaient les sources de protéines animales les plus abordables pour la plupart des communautés pauvres en ressources de l'Afrique subsaharienne. Cependant, suite à l'effondrement des principales zones de pêche, les protéines de poisson sont actuellement plus chères que toute autre source de protéines animales. Cela conduit à la marginalisation de la plupart des communautés rurales et à leur incapacité à se procurer des protéines. Pour combler ce fossé entre l'offre et la demande, l'aquaculture s'avère être le projet le plus…mehr

Produktbeschreibung
À la fin des années 1990, le poisson et les produits de la pêche étaient les sources de protéines animales les plus abordables pour la plupart des communautés pauvres en ressources de l'Afrique subsaharienne. Cependant, suite à l'effondrement des principales zones de pêche, les protéines de poisson sont actuellement plus chères que toute autre source de protéines animales. Cela conduit à la marginalisation de la plupart des communautés rurales et à leur incapacité à se procurer des protéines. Pour combler ce fossé entre l'offre et la demande, l'aquaculture s'avère être le projet le plus prometteur pour les agriculteurs africains. Cependant, face à la nécessité d'augmenter la production dans les entreprises de pisciculture, les agriculteurs sont tentés de stocker davantage dans leurs installations piscicoles. Le surstockage associé à de mauvaises conditions d'eau (température, pH, oxygène dissous, excès de nutriments, etc.) sont les principaux facteurs prédisposant à la suppression de l'immunité des poissons et à l'apparition de maladies. Ce livre met en lumière l'occurrence de la Streptococcose, qui est l'une des maladies les plus courantes en pisciculture tropicale.
Autorenporträt
Yusuph Aron Kafula schloss 2014 sein Studium der Aquakultur und Fischerei an der University of Dar es Salaam mit einem BSc (Hons) ab und wechselte dann 2015 zur Sokoine University of Agriculture, wo er seinen Master machte. Derzeit ist er Doktorand im Rahmen eines VLIR-UOS-Stipendiums, das in Zusammenarbeit zwischen Nord (KU Leuven, Belgien) und Süd (NM-AIST, Tansania) angeboten wird.