Les études criminologiques ont insisté sur l'auteur et son acte antisocial. Devenus préoccupants, leurs analyses ont abouti à une politique criminelle répressive, exposant ainsi l'échec des politiques de traitement et de réinsertion sociale. Des études se démarquant des recherches criminologiques ont examiné les circonstances qui entourent l'acte, prenant en compte les activités et les styles de vie des victimes. Ce travail reconnaît une part de responsabilité de la personne victimisée. Car les écarts négatifs et/ ou positifs exagérés du comportement (extraverti et/ou introverti) invitent à l'agression de la victime.