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Mon chemin est une forêt universelle, elle est peut- être imaginaire, mais je la connais, là où je voyage et découvre la Nature (de l'Homme).Ce fut un jour comme celui-ci où je vis les ténèbres s'effondrer. Un miracle... Aussi, j'ai présenté mes condoléances à tous les êtres de la nuit pour en conserver le souvenir et ne pas oublier leurs regards sur, (ce qu'ils appellent) l'être, ainsi devenir moins vulnérable devant les êtres ténébreux.J'ai choisi de chercher une plage d'amour. Sur cette plage existe tout de même des dangers l'Homme peut devenir la victime d'une chevelure, de femme ou de…mehr

Produktbeschreibung
Mon chemin est une forêt universelle, elle est peut- être imaginaire, mais je la connais, là où je voyage et découvre la Nature (de l'Homme).Ce fut un jour comme celui-ci où je vis les ténèbres s'effondrer. Un miracle... Aussi, j'ai présenté mes condoléances à tous les êtres de la nuit pour en conserver le souvenir et ne pas oublier leurs regards sur, (ce qu'ils appellent) l'être, ainsi devenir moins vulnérable devant les êtres ténébreux.J'ai choisi de chercher une plage d'amour. Sur cette plage existe tout de même des dangers l'Homme peut devenir la victime d'une chevelure, de femme ou de sirène. Mais ce danger et c'est là ce qui en fait la beauté peut devenir un rêve « océane ». Sur cette plage fusent de toutes parts des pensés furtives, voire joyeuses.Rimbaud ne percevait pas la beauté comme les non-initiés, pour lui la beauté c'est d'abord un jouet, peut-être parce qu'il y avait à la fois le ciel et la mer et donc toute liberté. En tout cas il la bien perçut, moi j'ai rencontré un ami il s'appelait Martial avec lui j'ai joué avec le sable et la mer, mais sans chercher à démêler la beauté de la laideur. Rimbaud lui cherchait la beauté pour l'asseoir sur ses genoux et l'injurier. Celui qui n'est pas poète joue aussi, sans chercher le beau du laid, le bien du mal, juste de l'eau d'enfant, la rose du premier matin.Il y avait également ceux d'Ecléve, qui écumaient de rire dans l'eau d'enfant, et pouvaient voir la rose du premier matin. C'était un hasard, un choix, peut-être même un dessein pour adoucir l'horizon de nuit.Il y a effectivement une présence douce, faite comme nous de sang d'oxygène et d'hydrogène. Mais surtout il y avait ce corps lumineux, que j'attendais, sur le chemin des pierres, où je suis allée pour toi.Ce corps lumineux qui interpelle, fascine et interroge, finalement faut-il suivre le chemin ? Faut-il être ou ne pas être ?
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Autorenporträt
Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie." Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés. Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux. Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.