L'étude visait à mesurer les symptômes psychiatriques chez les personnes handicapées physiques victimes de la dernière guerre à Gaza. Dans cette étude, le chercheur a utilisé l'approche descriptive analytique. Les résultats ont montré que la dimension la plus courante était l'anxiété, avec un pourcentage égal à 68,5 %, ce qui implique des degrés élevés d'anxiété dans l'échantillon, suivie de l'idéation paranoïaque, avec un pourcentage égal à 47,9 %. Vient ensuite la sensibilité interpersonnelle, avec un pourcentage de 44,7 %. La dimension la moins fréquente est l'anxiété phobique, avec un pourcentage égal à 30,7 %.