L'auteur développe une problématique qui articule écriture romanesque et poétique en contexte postcolonial d'Afrique francophone. Elle démontre comment la création linguistique et poétique devient le lieu spécifique du langage libéré, qui anticipe et illustre une liberté intellectuelle et créatrice prête à rejoindre les dimensions du politique et du social par l'action. Sa réflexion apporte une plus-valeur heuristique dans le champs des études postcoloniales en Afrique.