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Le taux de survie global à 5 ans chez les patients atteints d'un carcinome épidermoïde de la muqueuse buccale de stade T1-2 varie de 40 à 70 %. Les options de traitement comprennent la chirurgie, la radiothérapie et une combinaison des deux. La radiothérapie est une option autonome dans le traitement des tumeurs buccales et comprend l'irradiation intrathécale et la radiothérapie combinée. Une alternative à la radiothérapie est actuellement le traitement chirurgical au premier stade avec une évaluation pathomorphologique de la pièce macropariétale enlevée et une éventuelle radiothérapie…mehr

Produktbeschreibung
Le taux de survie global à 5 ans chez les patients atteints d'un carcinome épidermoïde de la muqueuse buccale de stade T1-2 varie de 40 à 70 %. Les options de traitement comprennent la chirurgie, la radiothérapie et une combinaison des deux. La radiothérapie est une option autonome dans le traitement des tumeurs buccales et comprend l'irradiation intrathécale et la radiothérapie combinée. Une alternative à la radiothérapie est actuellement le traitement chirurgical au premier stade avec une évaluation pathomorphologique de la pièce macropariétale enlevée et une éventuelle radiothérapie postopératoire pour les facteurs de complication pronostiques. Le taux de survie à 5 ans des patients atteints de carcinome épidermoïde de la muqueuse buccale est réduit de moitié en cas de lésions métastatiques des ganglions lymphatiques régionaux. En l'absence de traitement prophylactique des zones de drainage lymphatique pendant l'observation dynamique, l'incidence des métastases régionales est de 25-50%. Il est pertinent de développer des tactiques de traitement pour les patients atteints de cancer de la bouche à un stade précoce (T1-2), avec une évaluation des facteurs pronostiques.
Autorenporträt
Gelfand Igor Mikhailovich, geboren 1985, schloss 2008 sein Studium der Allgemeinmedizin an der Nördlichen Staatlichen Medizinischen Universität in Archangelsk ab. Seit 2011 arbeitet er in der Abteilung für Kopf- und Halstumore am Wissenschafts- und Forschungszentrum N.N. Blokhin. Im Jahr 2016 verteidigte sie ihre Dissertation für den Abschluss als Kandidatin der medizinischen Wissenschaften.