Le Poète étant un diseur, manipulant les mots à sa propre guise sous satisfaction du public lecteur en faisant porter les chapeaux aux lettres par des émotions, la sensibilité, la magie, la création et la motivation qui l'animent au point ses jours sur terre demeurent un long chapitre parsemé d'expériences, d'amertume, d'allégresse et de recherche ; l'arsenal de ce domaine fonctionnel a un moteur qui tourne inlassablement. Victor Poète considère la poésie comme l'art divin, car l'être suprême rédige sur les lignes du coeur avant que le Poète n'interprète ces écrits sur ses parchemins et/ou blancs papiers ; étant donné que la poésie soit un art dont l'écrivain principal reste et demeure l'être vivant dans soi, lequel porte la suprématie indéfectible, l'enveloppe extérieure après sa pourriture et dégénérescence ressemblant à la poussière d'où elle fut tirée, il est probablement vrai que l'être Poète vivant dans chaque corps qui cède à la mort, continue à rédiger comme fut-ce avant que n'existe ou n'apparaît sa couverture visible et perceptible.