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Depuis la fin du XXe siècle le droit de correction paternel est devenu le cheval de bataille contre l'usage du châtiment corporel pour la discipline de l'enfant. Le droit européen recommande l'abolition de toute forme de châtiment physique à l'égard des enfants, même celui infligé pour la discipline. La tendance mondiale vers l'abolition de ce droit est bien représentée par les pays qui ont proscrit de leurs législations cette forme de correction paternelle. Cependant, certains pays, à l'instar de la France, résistent à ce mouvement d'abolition. Comment expliquer cette résistance ? Il faut…mehr

Produktbeschreibung
Depuis la fin du XXe siècle le droit de correction paternel est devenu le cheval de bataille contre l'usage du châtiment corporel pour la discipline de l'enfant. Le droit européen recommande l'abolition de toute forme de châtiment physique à l'égard des enfants, même celui infligé pour la discipline. La tendance mondiale vers l'abolition de ce droit est bien représentée par les pays qui ont proscrit de leurs législations cette forme de correction paternelle. Cependant, certains pays, à l'instar de la France, résistent à ce mouvement d'abolition. Comment expliquer cette résistance ? Il faut reconnaître que le châtiment corporel est une réalité dans les familles, et que les cas de violence et des mauvais traitements des enfants sont assez fréquemment cités dans les médias. En revanche, des sondages d'opinion montrent que la plupart des personnes sont contre une interdiction formelle des châtiments corporels dans la famille. Ces données prouvent la polémique du sujet. Afin d'apporter une contribution au débat, le but de ce travail est de donner une explication historico-juridique, en étudiant les limites de la correction paternelle dans les trois derniers siècles de l'Ancien Régime.
Autorenporträt
Doctorant en Histoire du droit à l'Université de Strasbourg - France. Attaché temporaire d'enseignement et recherche à l'Université de Strasbourg (2011). Master 2 en Histoire du droit à l'Université de Montpellier 1 - France (2008). Diplôme d'Études Supérieures en Droit à l'Université Cândido Mendes - Brésil (2006).