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Le blé appartient à la famille des poacées, communément appelée famille des graminées. Il est cultivé pendant la saison Rabi et a été identifié comme le "roi des céréales" en raison de sa culture sur une très grande surface. Les contraintes abiotiques telles que les températures élevées et basses, la sécheresse, la salinité et les fortes concentrations de métaux toxiques ont limité la production agricole. Parmi ces contraintes, celle des températures élevées a suscité de vives inquiétudes, car on prévoit une augmentation de la température de l'air à l'échelle mondiale de 0,2 °C par décennie.…mehr

Produktbeschreibung
Le blé appartient à la famille des poacées, communément appelée famille des graminées. Il est cultivé pendant la saison Rabi et a été identifié comme le "roi des céréales" en raison de sa culture sur une très grande surface. Les contraintes abiotiques telles que les températures élevées et basses, la sécheresse, la salinité et les fortes concentrations de métaux toxiques ont limité la production agricole. Parmi ces contraintes, celle des températures élevées a suscité de vives inquiétudes, car on prévoit une augmentation de la température de l'air à l'échelle mondiale de 0,2 °C par décennie. Le blé est une culture d'hiver et les schémas de rotation conduisent à un semis tardif au mois de décembre/janvier. La température optimale pour la croissance du blé est de 18-24°C, mais une exposition à des températures élevées (28-32°C), même pendant une courte période (5-6 jours), entraîne une réduction de 20 % ou plus du rendement. Actuellement, diverses stratégies sont appliquées pour accroître la tolérance thermique des plants de blé. Le développement de variétés de blé thermotolérantes est l'une des principales étapes vers l'amélioration du rendement du blé. Pour répondre aux besoins, il faudra donc doubler la production par rapport au niveau actuel, afin de nourrir 950 millions de personnes d'ici 2050.
Autorenporträt
Alisha Goyal est titulaire d'un diplôme de biotechnologie de la CGC Landran. Elle a obtenu une maîtrise et un doctorat en physiologie végétale à la CCS HAU, Hisar. En tant que chercheur principal, elle a participé à 10 sessions de formation, 3 ateliers et 9 conférences. Elle a publié 7 articles de recherche, 5 chapitres de livres et plus de 10 résumés présentés lors de réunions scientifiques.