Les six femmes qu'il a aimées, à commencer par Germaine, sa mère, ponctuent justement les six Époques chronologiques de cette vaste fresque.
Après des vacances idylliques au chef-lieu avec la famille Chavelier (cf. tome 17), Louis, dès son retour à Paris, se rend chez Billaudot, qui lui a proposé d'éditer sa pièce. Elle sera ainsi accessible aux troupes d'acteurs amateurs de tous les pays francophones, et ceci, sans limitation de durée. Contrat est passé, avec promesse de rentrées régulières. Une aubaine pour lui, car Ce Pauvre Desbonnets quitte bientôt l'affiche du Grand-Guignol, et son auteur retombe dans l'obscurité et les difficultés pécuniaires. Et aussi un bouclier contre Henriette la tatillonne, qui n'a de cesse de l'exhorter à chercher un vrai travail - pour elle l'écriture n'en est pas un, qui ne nourrit pas son homme.
Cette industrieuse, en rémission apparente de sa bougeotte, revient finalement à Paris. Elle a décroché un poste de professeur d'anglais dans un cours privé proche de leur domicile, et a plaidé la cause de son mari. Mais contrairement à elle, son expérience à lui tourne court : ses méthodes d'enseignement du français, sans doute trop innovantes, lui valent d'être remercié dès son second cours.
Heureusement il y a Nadine et, gare Saint-Lazare, les rencontres discrètes, le métro pour Louis et letrain pour elle, depuis Garches. Jusqu'à un certain après-midi de mars, où elle n'est pas au rendez-vous. C'est la rupture - de fait, la seconde -, et comme la première fois, la magie de son verbe ramène la rebelle.
Mais bientôt s'ouvrent devant lui de nouveaux horizons : la conduite de caravanes pour Tourisme et Travail, une association récemment créée, dédiée au tourisme social. L'Auvergne, puis l'Écosse...
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