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L'ignorance de notre génération, et le fait que les traditions religieuses, les théologies, et les sentiments de certains remplacent la parole de Dieu, font de ce siècle un siècle d'apostasie, et l'Eglise est, par voie de conséquence, complètement mondanisée. Je n'ai pas d'autres choix que de suivre Christ. Mon intention n'est pas de troubler les gens, mais d'obéir aux obligations que le mandat du Seigneur m'a faites. Je suis convaincu qu'il est urgent, en cette saison, de recommencer à bâtir l'Eglise sur la parole du Seigneur. L'Eglise doit être restaurée dans la vision primitive, et…mehr

Produktbeschreibung
L'ignorance de notre génération, et le fait que les traditions religieuses, les théologies, et les sentiments de certains remplacent la parole de Dieu, font de ce siècle un siècle d'apostasie, et l'Eglise est, par voie de conséquence, complètement mondanisée. Je n'ai pas d'autres choix que de suivre Christ. Mon intention n'est pas de troubler les gens, mais d'obéir aux obligations que le mandat du Seigneur m'a faites. Je suis convaincu qu'il est urgent, en cette saison, de recommencer à bâtir l'Eglise sur la parole du Seigneur. L'Eglise doit être restaurée dans la vision primitive, et retrouver son administration primitive. Je constate avec peine que les gens ne comprennent pas cela. Ils ne veulent rien savoir, leurs traditions leur suffisent. Par contre, la fin de toute chose est proche, nous devons donc être suffisamment " sages et sobres pour vaquer à la prière ", afin de pouvoir distinguer la vérité de l'erreur, et de saisir la vision divine et scripturaire de ce temps prophétique que nous vivons. L'apostasie aveugle l'Eglise, alors que la prophétie devient histoire. Voilà ce qui explique l'indifférence et le matérialisme laodicéens de l'Eglise de cette génération.
Autorenporträt
Wiftherlin Léon : né à Port-au-Prince le 20 avril 1988. Très jeune, il a été « poussé » dans l¿univers du livre et de l¿écriture par son bégaiement et le rire des uns et des autres quand il s¿efforçait de parler. Souvent seul en pensant à ce qüil aurait aimé dire s¿il n¿était pas bègue, il s¿était contenté d¿écrire, pour lui seul au début.