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L'analyse multivariée a montré que les participantes à l'étude qui avaient une attitude favorable à l'égard du LARC étaient 3 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que celles qui avaient une attitude non favorable (AOR=2. 7, IC 95 % (1,5, 4,8) et les participants à l'étude qui avaient changé de méthode contraceptive étaient 12 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que leurs homologues (AOR=12,4, IC 95 % (6,6, 23,6). L'utilisation des LARCM parmi les utilisateurs de la planification familiale moderne dans les centres de santé est plus élevée que le taux d'utilisation des LARCM rapporté dans d'autres études en Éthiopie, toujours dominée par les méthodes à courte durée d'action que sont les injectables. Parmi plusieurs facteurs qui pourraient affecter l'utilisation des méthodes contraceptives réversibles à longue durée d'action, les participants à l'étude qui avaient une attitude positive envers les LARCM et le changement de méthode contraceptive se sont avérés être des déterminants de l'utilisation des LARCM.
L'analyse multivariée a montré que les participantes à l'étude qui avaient une attitude favorable à l'égard du LARC étaient 3 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que celles qui avaient une attitude non favorable (AOR=2. 7, IC 95 % (1,5, 4,8) et les participants à l'étude qui avaient changé de méthode contraceptive étaient 12 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que leurs homologues (AOR=12,4, IC 95 % (6,6, 23,6). L'utilisation des LARCM parmi les utilisateurs de la planification familiale moderne dans les centres de santé est plus élevée que le taux d'utilisation des LARCM rapporté dans d'autres études en Éthiopie, toujours dominée par les méthodes à courte durée d'action que sont les injectables. Parmi plusieurs facteurs qui pourraient affecter l'utilisation des méthodes contraceptives réversibles à longue durée d'action, les participants à l'étude qui avaient une attitude positive envers les LARCM et le changement de méthode contraceptive se sont avérés être des déterminants de l'utilisation des LARCM.
L'analyse multivariée a montré que les participantes à l'étude qui avaient une attitude favorable à l'égard du LARC étaient 3 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que celles qui avaient une attitude non favorable (AOR=2. 7, IC 95 % (1,5, 4,8) et les participants à l'étude qui avaient changé de méthode contraceptive étaient 12 fois plus susceptibles d'utiliser le LARCM que leurs homologues (AOR=12,4, IC 95 % (6,6, 23,6). L'utilisation des LARCM parmi les utilisateurs de la planification familiale moderne dans les centres de santé est plus élevée que le taux d'utilisation des LARCM rapporté dans d'autres études en Éthiopie, toujours dominée par les méthodes à courte durée d'action que sont les injectables. Parmi plusieurs facteurs qui pourraient affecter l'utilisation des méthodes contraceptives réversibles à longue durée d'action, les participants à l'étude qui avaient une attitude positive envers les LARCM et le changement de méthode contraceptive se sont avérés être des déterminants de l'utilisation des LARCM.