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Le déficit de traitement des troubles mentaux, neurologiques et liés à l'utilisation de substances (MNS) est important dans les pays à revenu faible et intermédiaire, où plus de 75 % des personnes souffrant de troubles mentaux, neurologiques et liés à l'utilisation de substances ne reçoivent aucun traitement ni aucun soin. La principale stratégie pour réduire ce déficit de traitement consiste à intégrer les soins de santé mentale dans les soins de santé primaires. Une première étape importante dans la prestation de soins intégrés consiste à évaluer l'attitude et la capacité des travailleurs…mehr

Produktbeschreibung
Le déficit de traitement des troubles mentaux, neurologiques et liés à l'utilisation de substances (MNS) est important dans les pays à revenu faible et intermédiaire, où plus de 75 % des personnes souffrant de troubles mentaux, neurologiques et liés à l'utilisation de substances ne reçoivent aucun traitement ni aucun soin. La principale stratégie pour réduire ce déficit de traitement consiste à intégrer les soins de santé mentale dans les soins de santé primaires. Une première étape importante dans la prestation de soins intégrés consiste à évaluer l'attitude et la capacité des travailleurs des soins de santé primaires. Dans cette étude, une proportion encourageante du personnel de soins primaires a une attitude favorable à l'égard des maladies mentales et de bonnes connaissances. L'amélioration de la formation en santé mentale de base et la gestion de la charge de travail peuvent avoir un impact positif sur l'intégration des services de santé mentale dans les soins de santé primaires en Éthiopie. Ces informations sont donc utiles pour d'autres contextes similaires afin d'intégrer les services de santé mentale dans les soins de santé primaires.
Autorenporträt
Zegeye Yohannis, kommt aus Addis Abeba, Äthiopien. BSc in Krankenpflege von der Hawassa University, College of health science, und MsC in integrierter klinischer und kommunaler psychischer Gesundheit von einem gemeinsamen Programm der Universität Gondar, derzeit Doktorandin in Epidemiologie der psychischen Gesundheit an der Addis Ababa University. Mitarbeiterin im Amanuel-Krankenhaus.