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Cette étude propose, à partir d'une critique des evidences qui placent le conflit armé colombien au centre du processus de médiatisation de la violence, le recul des approches privilégiant le domaine politique du phénomène, ainsi que, la révision des événements violents à partir des traits de leur perception imaginaire, c'est-à-dire, à opartir de trois domaines visibles et proches de la violence quotidienne: violence obscure, violence abaissée et violence muette. Cela fait partie de la reconnaissance du potentiel critique et créatif de la notion d'imaginaire social et du fait d'admettre la…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude propose, à partir d'une critique des evidences qui placent le conflit armé colombien au centre du processus de médiatisation de la violence, le recul des approches privilégiant le domaine politique du phénomène, ainsi que, la révision des événements violents à partir des traits de leur perception imaginaire, c'est-à-dire, à opartir de trois domaines visibles et proches de la violence quotidienne: violence obscure, violence abaissée et violence muette. Cela fait partie de la reconnaissance du potentiel critique et créatif de la notion d'imaginaire social et du fait d'admettre la posibilité de trouver une vision alternative, dans les cassures de la représentation médiatique de la violence colombienne. Le corpus de la recherche est composé par les émission de fiction représentatives des trois périodes dans lesquelles on a divisé la décennie: "Quand je veux pleurer, je ne pleura pas",1989-1992; "L'alternative du scorpion",1992-1996 et "Le Procureur",1997-1999.
Autorenporträt
Docteur en Sciences de l'Information et de la Communication de la Université de Paris 8. Chercheuse de l'Institut des Études en Communiation et de la Culture de la Université National de la Colombie. Directrice du Master en Communication et Médias et de L'Observatoire National de Médias. Laboratoire de recherche en communication.