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Ceci n'est pas un film, c'est un roman - L'écriture cinématographique dans
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Seminar paper de l’année 2005 dans le domaine Philologie française - Littérature, note: 2,0, Philipps-Universität Marburg (Institut für Romanische Philologien), cours: SE : Der französische Roman der 80-er und 90-er Jahre, langue: Français, résumé: Le film, en général, dispose d’un très grand potentiel narratif. Pour cette raison, il est entré en relation avec le roman. Tous les deux racontent des histoires qu’ils ornent par des détails, et qui sont racontés d’une certaine perspective dont chaque perspective pousse souvent l’ironie entre la narration et l’observateur. Le désavantage du roman…mehr

Produktbeschreibung
Seminar paper de l’année 2005 dans le domaine Philologie française - Littérature, note: 2,0, Philipps-Universität Marburg (Institut für Romanische Philologien), cours: SE : Der französische Roman der 80-er und 90-er Jahre, langue: Français, résumé: Le film, en général, dispose d’un très grand potentiel narratif. Pour cette raison, il est entré en relation avec le roman. Tous les deux racontent des histoires qu’ils ornent par des détails, et qui sont racontés d’une certaine perspective dont chaque perspective pousse souvent l’ironie entre la narration et l’observateur. Le désavantage du roman envers le film se trouve dans les possibilités visuelles qui n’y existent guère ou pas du tout. Au contraire, le film souvent n’est pas capable de reproduire l’espace du temps du roman. Dans le roman, le lecteur voit et entend seulement ce que l’auteur le veut laisser voir et entendre. Quelques romans se référent au film et ils accomplissent par cela les critères qualitatifs du référentiel, de la communication, de l’auto-réfléxion, de la structuration et de la dialectique. Le référentiel mesure l’intensité avec laquelle un texte se réfère à un autre, de quelle manière il le prend pour thème et il dénude ses particularités. La communication touche les liaisons pragmatiques, c’est-à-dire qu’elle décrit le degré de la conscience par rapport à la référence du texte chez l’auteur et le récipient, de l’intention et de la clarté du marquage dans le texte lui-même. L’auto-réfléxion offre les possibilités de la thématique meta-communicative de l’intertextualité, la structuralité décrit l’intégration syntagmatique des prétextes dans le texte et la dialectique examine l’intensité intertextuelle du texte et le système du discours donné. Jean Echenoz se réfère fortement au film, spécialement au film noir, dans son roman Cherokee.Il pose sa caméra où il le veut et ainsi, il change à volonté la perspective et la distance des événements. A son avis, la ruse du roman consiste dans l’écriture cinématographique qui fait semblant au lecteur d’être un film et en même temps le ramener au fait qu’il ne s’agit pas d’un film mais d’un roman. Pour la description des références cinématographiques ou bien de l’écriture cinématographique dans Cherokeeil faut examiner la stratégie de la narration, c’est-à-dire comment l’auteur présente son roman aux lecteurs en regardant les catégories de l’action, des personnages, du lieu et du temps. En plus il faut observer l’attitude de la narration ou bien de quelle manière et de quels moyens l‘auteur présente son histoire. Cela concerne le traitement du temps, la situation narrative et la façon de la représenter. [...]