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"Le Livre des Odes", connu également sous le nom de "Le Classique des vers", s'est d'abord appelé les Poèmes, ou les Trois Cents Poèmes puisqu'il compte trois cents cinq poèmes. Ce recueil est une anthologie rassemblant des textes qui vont du xie au ve siècle av. J.-C., provenant de la Plaine centrale (les royaumes occupant le nord et le sud de la vallée du Fleuve Jaune), et est l'un des rares textes de l'Antiquité chinoise à avoir survécu à la destruction des livres opérée par l'empereur Qin Shi Huangdi après son accession au pouvoir en 221 av. J.-C. On y trouve les plus anciens exemples de…mehr

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Produktbeschreibung
"Le Livre des Odes", connu également sous le nom de "Le Classique des vers", s'est d'abord appelé les Poèmes, ou les Trois Cents Poèmes puisqu'il compte trois cents cinq poèmes. Ce recueil est une anthologie rassemblant des textes qui vont du xie au ve siècle av. J.-C., provenant de la Plaine centrale (les royaumes occupant le nord et le sud de la vallée du Fleuve Jaune), et est l'un des rares textes de l'Antiquité chinoise à avoir survécu à la destruction des livres opérée par l'empereur Qin Shi Huangdi après son accession au pouvoir en 221 av. J.-C. On y trouve les plus anciens exemples de la poésie chinoise. Composition : Le Classique des vers contient 305 poèmes répartis en quatre catégories : Les chansons populaires (poèmes 1 à 160), classées en fonction de leur origine, et provenant de quinze royaumes différents. Les odes mineures (poèmes 161 à 234). Les odes majeures (poèmes 235 à 265). Les odes religieuses (poèmes 266 à 305). Quatre sont du royaume Lu, État d'où provient l'anthologie. Cinq viennent du royaume de Song. Plusieurs propositions ont été faites pour expliquer la répartition des poèmes en quatre parties. Le classement peut être thématique : c'est bien le cas pour les première et quatrième parties. Il a pu aussi être fait en fonction des occasions où les poèmes étaient chantés : chansons populaires chantées par le peuple lors de fêtes, odes majeures lors de cérémonies de cour, odes religieuses dans les temples. Une autre hypothèse est que le classement est fonction des différents styles de musique sur lesquels les poèmes étaient chantés.

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Autorenporträt
Né dans l'État de Lu (actuelle province du Shandong), Confucius aurait vécu à une période où les empereurs de la dynastie des Zhou avaient perdu leur autorité sur l'ensemble du pays. Du personnage historique, on sait seulement qu'il est issu d'une famille noble déchue - ses ancêtres auraient appartenu à la maison ducale de l'État des Song. Après une jeunesse passée dans la pauvreté, Confucius occupe de hautes charges dans le gouvernement de l'État de Lu, comme ministre de la Justice et comme ministre intérimaire. Il s'illustre par la médiation qu'il entreprend au moment où le prince de Lu entre en guerre avec le prince de Qi. Malheureusement, sa vie politique sera brève. Vers 496 avant J.-C. , il doit s'exiler, par suite d'une intrigue politique. Il voyage alors d'un État à l'autre, espérant réaliser son idéal de réforme politique et sociale. Après treize années d'exil, il rentre dans l'État de Lu et y meurt peu après. La petite cité de Qufu, où il serait inhumé, est redevenue un haut lieu de pèlerinage. En réalité, Confucius connaît le sort des intellectuels de l'époque - celle des « cent écoles » philosophiques -, se déplaçant de principauté en principauté pour proposer, sans réussite durable, ses services de conseiller à différents seigneurs. Mais aucun d'entre eux ne mettra réellement en pratique ses idées. Son enseignement, en revanche, se propagera grâce à de nombreux disciples, qui compileront, après la mort du Maître, un recueil de ses préceptes : le Lunyu (« Entretiens »). La tradition veut qu'il ait classé et arrangé les Classiques qui existaient de son vivant. Il est en revanche très improbable qu'il ait pris part à leur rédaction.