« La liberté de l’individu doit être ainsi bornée : il ne doit pas se rendre nuisible aux autres. »
John Stuart Mill, éminent philosophe et économiste britannique, est l’auteur de nombreux textes classiques de la pensée libérale et utilitariste en Europe. Ses ouvrages sont d’une portée idéologique inestimable, inspirants encore aujourd’hui les plus grands penseurs. Avec une approche novatrice de la liberté sociale et civile, il pose la question du pouvoir de la société sur la liberté de l'individu. Il traite de la tyrannie de la majorité posant la question centrale de la conciliation de l'intérêt individuel avec l'intérêt général.
Ce texte, publié en 1859, expose également une défense passionnée de la liberté d'expression, condition nécessaire pour tout progrès social. Véritable plaidoyer pour la tolérance, cet ouvrage prône l’individualité et l’excentricité pour le bien-être de chacun et de tous.
Ses réflexions sur les droits des individus et sur la dictature des masses sont d’une actualité déconcertante.
EXTRAITS : « Le sujet de cet écrit n’est pas le libre arbitre, mais bien la liberté sociale ou civile, c’est-à-dire la nature et les limites du pouvoir qui peut être légitimement exercé par la société sur l’individu : une question rarement posée et presque jamais discutée en termes généraux, mais qui influe profondément sur les controverses pratiques du siècle par sa présence secrète, et qui probablement se fera bientôt reconnaître pour la question vitale de l’avenir. Cette question est si loin d’être neuve, que dans un certain sens elle a divisé l’humanité, presque depuis les temps les plus reculés. Mais elle se présente sous de nouvelles formes, dans l’ère de progrès où les groupes les plus civilisés de l’espèce humaine sont entrés maintenant, et elle demande à être traitée d’une façon différente et plus fondamentale. »
« La seule liberté qui mérite ce nom, est celle de chercher notre propre bien à notre propre façon, aussi longtemps que nous n’essayons pas de priver les autres du leur, ou d’entraver leurs efforts pour l’obtenir. Chacun est le gardien naturel de sa propre santé, soit physique, soit mentale et spirituelle. L’espèce humaine gagne plus à laisser chaque homme vivre comme bon lui semble, qu’à l’obliger de vivre comme bon semble au reste. »
John Stuart Mill, éminent philosophe et économiste britannique, est l’auteur de nombreux textes classiques de la pensée libérale et utilitariste en Europe. Ses ouvrages sont d’une portée idéologique inestimable, inspirants encore aujourd’hui les plus grands penseurs. Avec une approche novatrice de la liberté sociale et civile, il pose la question du pouvoir de la société sur la liberté de l'individu. Il traite de la tyrannie de la majorité posant la question centrale de la conciliation de l'intérêt individuel avec l'intérêt général.
Ce texte, publié en 1859, expose également une défense passionnée de la liberté d'expression, condition nécessaire pour tout progrès social. Véritable plaidoyer pour la tolérance, cet ouvrage prône l’individualité et l’excentricité pour le bien-être de chacun et de tous.
Ses réflexions sur les droits des individus et sur la dictature des masses sont d’une actualité déconcertante.
EXTRAITS : « Le sujet de cet écrit n’est pas le libre arbitre, mais bien la liberté sociale ou civile, c’est-à-dire la nature et les limites du pouvoir qui peut être légitimement exercé par la société sur l’individu : une question rarement posée et presque jamais discutée en termes généraux, mais qui influe profondément sur les controverses pratiques du siècle par sa présence secrète, et qui probablement se fera bientôt reconnaître pour la question vitale de l’avenir. Cette question est si loin d’être neuve, que dans un certain sens elle a divisé l’humanité, presque depuis les temps les plus reculés. Mais elle se présente sous de nouvelles formes, dans l’ère de progrès où les groupes les plus civilisés de l’espèce humaine sont entrés maintenant, et elle demande à être traitée d’une façon différente et plus fondamentale. »
« La seule liberté qui mérite ce nom, est celle de chercher notre propre bien à notre propre façon, aussi longtemps que nous n’essayons pas de priver les autres du leur, ou d’entraver leurs efforts pour l’obtenir. Chacun est le gardien naturel de sa propre santé, soit physique, soit mentale et spirituelle. L’espèce humaine gagne plus à laisser chaque homme vivre comme bon lui semble, qu’à l’obliger de vivre comme bon semble au reste. »