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Mémoire (de fin d'études) de l’année 2016 dans le domaine Droit - Droit public / Droit administratif, note: "manque", Universität Hassan II. Casablanca (Faculté des Sciences Juridiques,Economiques et Sociales), langue: Français, résumé: La prégnance de la problématique de l’éthique aujourd’hui dans nos administrations publiques est manifeste. Il est cité presque quotidiennement dans nos médias certains comportements non-éthiques (la corruption, la fraude, le clientélisme, gaspillage, abus de ressources…) qui sapent considérablement l’image de nos fonctions publiques et freinent toutes…mehr

Produktbeschreibung
Mémoire (de fin d'études) de l’année 2016 dans le domaine Droit - Droit public / Droit administratif, note: "manque", Universität Hassan II. Casablanca (Faculté des Sciences Juridiques,Economiques et Sociales), langue: Français, résumé: La prégnance de la problématique de l’éthique aujourd’hui dans nos administrations publiques est manifeste. Il est cité presque quotidiennement dans nos médias certains comportements non-éthiques (la corruption, la fraude, le clientélisme, gaspillage, abus de ressources…) qui sapent considérablement l’image de nos fonctions publiques et freinent toutes perspectives de développement. L’on assiste ainsi à une perte de confiance de la population dans les institutions publiques et à l’érosion de l’état de droit lui-même. Dès lors, il est utile de se demander, dans quelle mesure promeut-on les comportements éthiques chez les agents publics en Guinée et au Maroc? Au regard de ces préoccupations actuelles et réelles, les Etats semblent avoir pris conscience de la nécessité de promouvoir l’éthique dans les fonctions publiques. Les pays membres de l’OCDE ont en effet donné le ton en 2000 en prenant des mesures tendant à renforcer l’éthique dans leurs fonctions publiques respectives. En République de Guinée (Conakry), la question de l’éthique dans la fonction publique semble avoir suscitée l’attention des autorités actuelles du pays. Mais l’origine de la prise de conscience face aux effets nuisibles des pratiques de corruption et autres comportements non-éthiques remonte à l’an 2000 dans le cadre de la lutte contre la corruption et cette affirmation du Président de la République guinéen en a donné le ton. En 1999, le Royaume du Maroc exprima son implication de manière pratique dans le processus d’institutions des bases du système national de l’intégrité, de la transparence et de la lutte contre la corruption. L’expression politique réelle quant à elle a pour point de référence les Hautes Directives Royales sur ‘’ La Promotion de l’Ethique dans le Service public.’’ La volonté d’instaurer un comportement éthique chez les agents publics apparaît donc clairement qu’il s’agisse de la République de Guinée ou du Royaume du Maroc.