Une autobiographie poignante qui illustre l'emprisonnement sous toutes ses coutures...
Entre quotidien carcéral et souvenirs, l’auteure partage sans réserve des moments de sa vie longtemps cachés sous des tonnes de honte et de culpabilité. Avec son écriture à fleur de peau, à la fois drôle, crue et sensible, Marina interroge la vie sociale, notre rapport à autrui et plus précisément notre concept d’« emprisonnement ». Parce que la cage n’est pas toujours celle que l’on s’imagine. Ne construisons-nous pas souvent nous-mêmes nos propres prisons ?
Immergez vous dans la dure réalité du monde carcéral, en vous mettant, le temps d'un instant, dans la peau d'une prisonnière !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Marina Jaques est née le 21 mai 1961 à Lausanne, un jour de neige… Troisième enfant d’un père avocat et d’une mère exerçant le métier de femme d’intérieur, Marina n’a guère le goût des études. Naviguant au mieux entre ses multiples dépendances et des troubles du comportement, elle entame rapidement sa vie professionnelle et exerce dans la restauration, les ressources humaines et le travail social. L’envie d’écrire lui est venue lors de ses années de travail dans la rue, mais c’est durant son séjour en prison, grâce au temps – celui de la réflexion, celui des minutes et des heures, celui du souvenir –, que Marina prendra la plume pour de bon.
Entre quotidien carcéral et souvenirs, l’auteure partage sans réserve des moments de sa vie longtemps cachés sous des tonnes de honte et de culpabilité. Avec son écriture à fleur de peau, à la fois drôle, crue et sensible, Marina interroge la vie sociale, notre rapport à autrui et plus précisément notre concept d’« emprisonnement ». Parce que la cage n’est pas toujours celle que l’on s’imagine. Ne construisons-nous pas souvent nous-mêmes nos propres prisons ?
Immergez vous dans la dure réalité du monde carcéral, en vous mettant, le temps d'un instant, dans la peau d'une prisonnière !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Marina Jaques est née le 21 mai 1961 à Lausanne, un jour de neige… Troisième enfant d’un père avocat et d’une mère exerçant le métier de femme d’intérieur, Marina n’a guère le goût des études. Naviguant au mieux entre ses multiples dépendances et des troubles du comportement, elle entame rapidement sa vie professionnelle et exerce dans la restauration, les ressources humaines et le travail social. L’envie d’écrire lui est venue lors de ses années de travail dans la rue, mais c’est durant son séjour en prison, grâce au temps – celui de la réflexion, celui des minutes et des heures, celui du souvenir –, que Marina prendra la plume pour de bon.