Un boxeur noir, des ombres blanches. Rencontre sur le ring du poème pour un combat sans perdant ni vainqueur. Seul le lecteur marque les points jusqu’à la dernière reprise, féroce ou tendre, sans aucune illusion en tout cas sur tous ces mots qui en cachent bien d’autres entre la mort et la vie.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pierre Caizergues est professeur émérite à l’université Paul-Valéry de Montpellier. Ses recherches ont concerné plus particulièrement Guillaume Apollinaire dont il a coédité les œuvres en prose dans La Pléiade chez Gallimard, mais il a aussi écrit sur Jean Cocteau et Blaise Cendrars et d’autres poètes contemporains. Comme poète, il a publié une douzaine de recueils, notamment Encrages (Éditions St-Germain-des-prés, 1975), Mires et moires (Librairie bleue, 1982), Allumettes (Librairie bleue, 1988), Passage d’un ange (Librairie bleue, 1989) avec la participation de Jean-Claude Renard, Un été tahitien (Le Torii éditions, 1991), Le pire arrive même aux dieux (carnet d’Égypte, Le Torii éditions, 1997) avec une lettre-préface d’Andrée Chédid, Éloge de l’éclair (Fata Morgana, 2002), Triptyque pour une absente (Fata Morgana, 2013), 34 cartes postales de terres saintes, précédées d’une lettre à Judas (Fata Morgana, 2016), Fables sans morale (Éditions de la revue Nunc, 2017).
Michel Décaudin a écrit sur lui : « La transparence de sa poésie est celle de l’eau claire, insaisissable ; son évidence, un piège tendu au lecteur aussi bien qu’à lui-même. »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pierre Caizergues est professeur émérite à l’université Paul-Valéry de Montpellier. Ses recherches ont concerné plus particulièrement Guillaume Apollinaire dont il a coédité les œuvres en prose dans La Pléiade chez Gallimard, mais il a aussi écrit sur Jean Cocteau et Blaise Cendrars et d’autres poètes contemporains. Comme poète, il a publié une douzaine de recueils, notamment Encrages (Éditions St-Germain-des-prés, 1975), Mires et moires (Librairie bleue, 1982), Allumettes (Librairie bleue, 1988), Passage d’un ange (Librairie bleue, 1989) avec la participation de Jean-Claude Renard, Un été tahitien (Le Torii éditions, 1991), Le pire arrive même aux dieux (carnet d’Égypte, Le Torii éditions, 1997) avec une lettre-préface d’Andrée Chédid, Éloge de l’éclair (Fata Morgana, 2002), Triptyque pour une absente (Fata Morgana, 2013), 34 cartes postales de terres saintes, précédées d’une lettre à Judas (Fata Morgana, 2016), Fables sans morale (Éditions de la revue Nunc, 2017).
Michel Décaudin a écrit sur lui : « La transparence de sa poésie est celle de l’eau claire, insaisissable ; son évidence, un piège tendu au lecteur aussi bien qu’à lui-même. »