Ce livre décrit la manière dont les intellectuel·les catholiques belges ont participé aux grands bouleversements de la vie culturelle et scientifique de ces dernières décennies tels que le nouveau roman, la nouvelle vague, l'avènement des expertes en sciences humaines, le marxisme, l'écologie, le féminisme ou encore la psychanalyse.
Leur engagement s'est caractérisé par une solide capacité d'adaptation. De la sorte, ils et elles sont parvenu·es à se repositionner pour affronter la vague de déchristianisation de la deuxième moitié du XXe siècle et faire entendre leur voix. Ces hommes et ces femmes ont forgé un nouveau langage pour dire une foi réinventée, plus personnelle, qui témoigne des croyances qui façonnent leur être-au-monde. En cela, l'histoire ici racontée est aussi celle de l’évolution des identités religieuses contemporaines.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Cécile Vanderpelen-Diagre est docteure en histoire de l'Université libre de Bruxelles. Elle y enseigne l'histoire depuis 2010. Ses travaux de recherche portent sur l'histoire du catholicisme dans ses dimensions anthropologiques et culturelles (la sexualité, le rapport au corps, à la foi, à la littérature et aux arts). Elle est membre du Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB. Depuis septembre 2018, elle dirige la Maison des sciences humaines de l'ULB (http://msh.ulb.ac.be/). Elle participe au comité de rédaction des Problèmes d'histoire des religions. Elle est par ailleurs membre associée du Centre d'études en sciences sociales du religieux (CESOR) de l'EHESS ainsi que membre du comité scientifique des Archives des sciences sociales des religions (éditions de l'EHESS). Egalement impliquée dans l'histoire du genre et des femmes, elle co-préside depuis mars 2017 le Centre d'archives pour l'histoire des femmes (AVG-CARHIF). Aux éditions de l'Université de Bruxelles, elle dirige avec Amandine Lauro Sextant, revue de la Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre (STRIGES) de l'ULB et, avec David Paternotte, la collection "Genre(s) & Sexualité(s)".
Leur engagement s'est caractérisé par une solide capacité d'adaptation. De la sorte, ils et elles sont parvenu·es à se repositionner pour affronter la vague de déchristianisation de la deuxième moitié du XXe siècle et faire entendre leur voix. Ces hommes et ces femmes ont forgé un nouveau langage pour dire une foi réinventée, plus personnelle, qui témoigne des croyances qui façonnent leur être-au-monde. En cela, l'histoire ici racontée est aussi celle de l’évolution des identités religieuses contemporaines.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Cécile Vanderpelen-Diagre est docteure en histoire de l'Université libre de Bruxelles. Elle y enseigne l'histoire depuis 2010. Ses travaux de recherche portent sur l'histoire du catholicisme dans ses dimensions anthropologiques et culturelles (la sexualité, le rapport au corps, à la foi, à la littérature et aux arts). Elle est membre du Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB. Depuis septembre 2018, elle dirige la Maison des sciences humaines de l'ULB (http://msh.ulb.ac.be/). Elle participe au comité de rédaction des Problèmes d'histoire des religions. Elle est par ailleurs membre associée du Centre d'études en sciences sociales du religieux (CESOR) de l'EHESS ainsi que membre du comité scientifique des Archives des sciences sociales des religions (éditions de l'EHESS). Egalement impliquée dans l'histoire du genre et des femmes, elle co-préside depuis mars 2017 le Centre d'archives pour l'histoire des femmes (AVG-CARHIF). Aux éditions de l'Université de Bruxelles, elle dirige avec Amandine Lauro Sextant, revue de la Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre (STRIGES) de l'ULB et, avec David Paternotte, la collection "Genre(s) & Sexualité(s)".