La vérité sur les pratiques mondiales en matière de santé et de vaccination.
La poule aux oeufs d'or.
En matière de santé, il existe un irréductible conflit entre le pasteurisme, qui vise à détruire les microbes, et la médecine traditionnelle de Béchamp et Claude Bernard qui vise à résorber les déséquilibres physiologiques et immunitaires à l'origine de ces mêmes microbes.
L'allégorie du marécage résume bien la situation. Un marécage génère des moustiques. Pasteur (chimiste) s'acharnera à détruire les moustiques sans trop se soucier du marécage. Béchamp et Claude Bernard (physiologistes) se consacreront à assécher le marécage afin qu'il n'y ait plus de moustiques. Selon leur formule, « le microbe n'est rien, le milieu est tout ! »
La pénicilline et les antibiotiques constituent une solution d'urgence dans le cas de prolifération invasive de virus et de bactéries, c'est un fait. Mais sans la prise en charge de l'amélioration des défenses immunitaires naturelles, les déséquilibres vont engendrer des virus et bactéries mutants résistants à tout. C'est le principe du moustique survivant à l'insecticide. Il va engendrer une génération de moustiques immunisés contre l'insecticide. Ce sera une guerre bactério-chimique sans fin.
Or, une guerre sans fin est une rente à vie pour qui fabrique les chimies tueuses. Le mythe pasteurien est donc très soigneusement entretenu, car c'est une véritable poule aux oeufs d'or. C'est une poule qui coûte cher en vies humaines, mais qui a comme bonnes fées des cartels bancaires associés aux industries pharmaceutiques. Et, vous allez voir, à la lecture de ces textes, à quel point elle résiste à tout, car la poule est toujours vivante et plus vivace que jamais...
Plongez-vous dans un dossier riche en analyses et commentaires sur la gestion des vaccins et les politiques vaccinales mises en place par nos dirigeants.
EXTRAIT DE La Cour des comtpes au service de la politique vaccinale
Comment creuser le déficit de la Sécu avec des vaccins poison, des carnets électroniques inutiles ou des biopuces ?
Après le fiasco de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 et face à la réticence de plus en plus prononcée des Français à se faire vacciner, la Cour des comptes s'est penchée, à la demande des parlementaires, sur la stratégie nationale de vaccination.
Après avoir rappelé en préambule que la vaccination « a été un outil essentiel de la disparition dans notre pays des grandes pandémies qui ont marqué le passé », la Cour des comptes a rendu public en février 2013 son rapport déplorant le manque de cohérence de la politique vaccinale française. Les résultats sont poliment qualifiés de « contrastés » au regard des 400 millions d'euros dépensés chaque année par la collectivité pour rembourser ces vaccins. Les objectifs vaccinaux établis dans une perspective quinquennale, en annexe de la loi de Santé publique du 9 août 2004, ont été définie « de manière trop uniforme et leur degré de réalisation a été décevant dans le cadre national comme au regard des comparaisons internationales ». L'objectif de couverture de 95 % de la population générale n'a été que « partiellement évaluable ».
La poule aux oeufs d'or.
En matière de santé, il existe un irréductible conflit entre le pasteurisme, qui vise à détruire les microbes, et la médecine traditionnelle de Béchamp et Claude Bernard qui vise à résorber les déséquilibres physiologiques et immunitaires à l'origine de ces mêmes microbes.
L'allégorie du marécage résume bien la situation. Un marécage génère des moustiques. Pasteur (chimiste) s'acharnera à détruire les moustiques sans trop se soucier du marécage. Béchamp et Claude Bernard (physiologistes) se consacreront à assécher le marécage afin qu'il n'y ait plus de moustiques. Selon leur formule, « le microbe n'est rien, le milieu est tout ! »
La pénicilline et les antibiotiques constituent une solution d'urgence dans le cas de prolifération invasive de virus et de bactéries, c'est un fait. Mais sans la prise en charge de l'amélioration des défenses immunitaires naturelles, les déséquilibres vont engendrer des virus et bactéries mutants résistants à tout. C'est le principe du moustique survivant à l'insecticide. Il va engendrer une génération de moustiques immunisés contre l'insecticide. Ce sera une guerre bactério-chimique sans fin.
Or, une guerre sans fin est une rente à vie pour qui fabrique les chimies tueuses. Le mythe pasteurien est donc très soigneusement entretenu, car c'est une véritable poule aux oeufs d'or. C'est une poule qui coûte cher en vies humaines, mais qui a comme bonnes fées des cartels bancaires associés aux industries pharmaceutiques. Et, vous allez voir, à la lecture de ces textes, à quel point elle résiste à tout, car la poule est toujours vivante et plus vivace que jamais...
Plongez-vous dans un dossier riche en analyses et commentaires sur la gestion des vaccins et les politiques vaccinales mises en place par nos dirigeants.
EXTRAIT DE La Cour des comtpes au service de la politique vaccinale
Comment creuser le déficit de la Sécu avec des vaccins poison, des carnets électroniques inutiles ou des biopuces ?
Après le fiasco de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 et face à la réticence de plus en plus prononcée des Français à se faire vacciner, la Cour des comptes s'est penchée, à la demande des parlementaires, sur la stratégie nationale de vaccination.
Après avoir rappelé en préambule que la vaccination « a été un outil essentiel de la disparition dans notre pays des grandes pandémies qui ont marqué le passé », la Cour des comptes a rendu public en février 2013 son rapport déplorant le manque de cohérence de la politique vaccinale française. Les résultats sont poliment qualifiés de « contrastés » au regard des 400 millions d'euros dépensés chaque année par la collectivité pour rembourser ces vaccins. Les objectifs vaccinaux établis dans une perspective quinquennale, en annexe de la loi de Santé publique du 9 août 2004, ont été définie « de manière trop uniforme et leur degré de réalisation a été décevant dans le cadre national comme au regard des comparaisons internationales ». L'objectif de couverture de 95 % de la population générale n'a été que « partiellement évaluable ».
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