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En plenos carnavales de alguna ciudad italiana del siglo XIX, Montresor busca a Fortunato con ánimo de vengarse de una pasada humillación. Al hallarlo ebrio, le resulta fácil convencerlo de que lo acompañe a su palazzo con el pretexto de darle a probar un nuevo vino. Lo conduce a las catacumbas de la casa, y allí consuma su venganza.Montresor raconte l'histoire de la nuit où il a tiré vengeance d'une insulte proférée à son égard par Fortunato, un noble de sa connaissance. Rencontrant Fortunato lors du Carnaval alors que l'homme est ivre et porte un bonnet de bouffon, Montresor l'attire dans un…mehr

Produktbeschreibung
En plenos carnavales de alguna ciudad italiana del siglo XIX, Montresor busca a Fortunato con ánimo de vengarse de una pasada humillación. Al hallarlo ebrio, le resulta fácil convencerlo de que lo acompañe a su palazzo con el pretexto de darle a probar un nuevo vino. Lo conduce a las catacumbas de la casa, y allí consuma su venganza.Montresor raconte l'histoire de la nuit où il a tiré vengeance d'une insulte proférée à son égard par Fortunato, un noble de sa connaissance. Rencontrant Fortunato lors du Carnaval alors que l'homme est ivre et porte un bonnet de bouffon, Montresor l'attire dans un piège en prétendant avoir reçu une barrique d'amontillado et demandant son opinion d'expert pour s'assurer de son origine.Ensemble, ils vont dans les vastes caves du palais de Montresor et arrivent enfin dans une niche où Montresor enchaîne promptement Fortunato. Il sort alors des outils de maçon et commence à emmurer Fortunato à l'intérieur. Aussitôt dégrisé, ce dernier essaie en vain de se libérer de ses chaînes, au grand plaisir de Montresor. Fortunato crie ensuite à l'aide mais Montresor sait parfaitement que personne ne l'entendra. Alors que Montresor est sur le point de finir le mur, Fortunato prétend que c'était une bonne plaisanterie avant d'implorer « Pour l'amour de Dieu, Montresor ! », ce à quoi son meurtrier répond « Oui, pour l'amour de Dieu » avant de laisser tomber sa torche dans la mince ouverture restante.Montresor conclut en disant que depuis 50 ans personne n'a dérangé le travail qu'il avait effectué cette nuit-là et termine par ses mots : « In pace requiescat ».