4,99 €
inkl. MwSt.
Sofort per Download lieferbar
  • Format: PDF

El demonio de la perversidad es un relato corto del escritor estadounidense Edgar Allan Poe del año 1845. La obra trata esencialmente de los impulsos autodestructivos que mueven al narrador, impulsos que el autor identifica con el "demonio de la perversidad". El narrador describe este principio como un agente espiritual que obliga a las personas a hacer cosas por el mero hecho de que no deberían hacerlas. La frase es hoy corriente en lengua inglesa, y se considera que este autor pudo estar en el origen de la misma. Le narrateur explique en détail sa théorie sur Le Démon de la perversité qu'il…mehr

Produktbeschreibung
El demonio de la perversidad es un relato corto del escritor estadounidense Edgar Allan Poe del año 1845. La obra trata esencialmente de los impulsos autodestructivos que mueven al narrador, impulsos que el autor identifica con el "demonio de la perversidad". El narrador describe este principio como un agente espiritual que obliga a las personas a hacer cosas por el mero hecho de que no deberían hacerlas. La frase es hoy corriente en lengua inglesa, y se considera que este autor pudo estar en el origen de la misma. Le narrateur explique en détail sa théorie sur Le Démon de la perversité qu'il croit être la cause même des actes commis par des personnes allant à l'encontre de leur propre intérêt. Cet essai, écrit à la manière d'une explication est présenté de manière objective bien que le narrateur admette être « une des victimes innombrables du démon de la perversité ». Puis il explique en quoi sa condamnation pour meurtre est le résultat de ce fait. Le narrateur tue un homme en utilisant une bougie qui dégage des vapeurs toxiques lorsqu'elle se consume. La victime qui appréciait lire au lit pendant la nuit, utilisant ladite bougie pour s'éclairer, meurt dans sa chambre mal aérée. Le narrateur s'occupe à faire disparaître toute preuve de son forfait, faisant croire au coroner que le malheureux est mort de cause naturelle. Le narrateur demeure insoupçonné du crime bien que de temps à autre il se rassure en répétant à voix basse : « Je suis sauvé ». Un jour, il réalise qu'il n'est en sécurité que s'il a le bon sens de ne pas se confesser publiquement. Néanmoins, en disant cela, il commence à se demander s'il serait capable de se confesser. Il se met alors à courir dans les rues comme un fou pour fuir cette pensée, attirant l'attention sur lui. Quand il s'arrête enfin, il se sent sous l'emprise d'un « démon invisible ». Il révèle alors son secret « très distinctement » mais à toute vitesse comme s'il avait peur d'être interrompu. Il est jugé rapidement et condamné à mort pour meurtre.