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« Dans l’argile du temps Écouter le silence qui perle la pierre Quant au pied de l’autel où l’Homme vient s’asseoir Le cantique se rend à la chute du soir Comme dans l’océan s’apaise la rivière Attendre dans la nuit que brille la lumière. Pour l’Homme agenouillé devant un ostensoir D’où perle un clair-obscur comme renaît l’espoir D’une paix retrouvée au creux d’une prière Quand tout semble perdu, laisser aller son cœur Au souffle de la Vie, indicible douceur D’un zéphyr apaisant sur un front nostalgique Au fil de la souffrance, esquisser le contour D’un monde transcendé par une foi mystique. Dans l’argile du temps, Dieu cisèle l’Amour ! » Écouter le silence qui perle la pierre Quant au pied de l’autel où l’Homme vient s’asseoir Le cantique se rend à la chute du soir Comme dans l’océan s’apaise la rivière Attendre dans la nuit que brille la lumière. Pour l’Homme agenouillé devant un ostensoir D’où perle un clair-obscur comme renaît l’espoir D’une paix retrouvée au creux d’une prière Quand tout semble perdu, laisser aller son cœur Au souffle de la Vie, indicible douceur D’un zéphyr apaisant sur un front nostalgique Au fil de la souffrance, esquisser le contour D’un monde transcendé par une foi mystique. Dans l’argile du temps, Dieu cisèle l’Amour ! »