Blythe Connor n'a qu'une seule idée en tête : ne pas reproduire ce qu'elle a vécu. Lorsque sa fille, Violet, naît, elle sait qu'elle lui donnera tout l'amour qu'elle mérite. Tout l'amour dont sa propre mère l'a privée. Mais les nouveau-nés ne se révèlent pas forcément être le fantasme qu'on s'est imaginé. Violet est un bébé agité, qui ne sourit jamais. Très vite, Blythe se demande ce qui ne va pas. Ce qu'elle fait mal. Si le problème, c'est sa fille. Ou elle. Puisque Violet se comporte différemment avec son père, ce dernier met les doutes de sa femme sur le compte de l'épuisement. Sûrement parce qu'il ne peut imaginer ce qu'elle a vécu enfant. Peut-être parce que personne ne peut l'imaginer. Dans ce premier roman aussi addictif que troublant, Ashley Audrain sonde les affres de la maternité et les hérédités blessées. Traduit de l'anglais (Canada) par Julia Kerninon. « Parfaitement construit. Un page turner magistral. » The Guardian « Ashley Audrain perce le mystère de l'inné et de l'acquis d'une main de maître. » The New York Times « Percutant, glaçant, vertigineux, digne de Lionel Shriver. » Livres Hebdo « Ce thriller est le roman d'une lutte contre l'hérédité ainsi que la critique féroce de ce qu'on attend d'une mère, parfaite, forcément parfaite. » Olivia de Lamberterie, ELLE « Dérangeante cette histoire aux troublants accents de vérité ? Assurément. Mais le roman, aus si déroutant que passionnant, est de ceux que l'on n'oublie pas ... » Le Dauphiné Libéré « Pour son premier roman Ashley Audrain signe un thriller haletant, parfois dérangeant parce qu'il joue avec les peurs élémentaires de toutes les mamans et interroge sur la maternité et le poids de l'hérédité. » Gala « Autant qu'un thriller redoutablement efficace - qui laisse les lecteurs en suspension, happés par la voix bouleversante d'une femme aux abois -, le récit interroge l'évidence supposée du lien maternel. Sur les traces d'Il faut qu'on parle de Kevin, de Lionel Shriver (Belfond, 2006), il parvient à faire glisser l'héroïne et les lecteurs de la normalité conjugale à un enfer insidieux où faire bonne figure devient illusoire. » Le Monde
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